mardi 23 juin 2015

"Notre combat n’est pas seulement celui de la Grèce, il aspire à une Europe libre, indépendante et démocratique. Ne croyez pas vos gouvernements lorsqu’ils prétendent que votre argent sert à aider la Grèce. (…) Leurs programmes de « sauvetage de la Grèce » aident seulement les banques étrangères, celles précisément qui, par l’intermédiaire des politiciens et des gouvernements à leur solde, ont imposé le modèle politique qui a mené à la crise actuelle.Résistez au totalitarisme des marchés qui menace de démanteler l’Europe en la transformant en Tiers-monde, qui monte les peuples européens les uns contre les autres, qui détruit notre continent en suscitant le retour du fascisme." Mikis Theodorakis

http://www.humanite.fr/lappel-de-mikis-theodorakis-les-banques-rameneront-le-fascisme-en-europe


vendredi 19 juin 2015

Un peu de chaud au coeur.... et d'espoir!

..."While fully respecting our commitments as such, we will also actively seek to become a bridge of cooperation both in our region and beyond, with our traditional friends such as Russia, but also with new global and regional organizations.
Of course, as you are all undoubtedly aware, we are currently in the middle of a storm. But we are a seafaring people, well-versed in weathering storms and unafraid of sailing in large seas, in new seas, in order to reach new and more secure ports...Let us not fool ourselves: the so-called Greek problem is not a Greek problem. It is a European problem. The problem is not Greece. The problem is the Eurozone, and its very structure.)
TSIPRAS

Grand temps de stopper ces arnaques!!!!

http://www.liberation.fr/monde/2015/06/19/grece-anatomie-d-une-manipulation_1333377

« Quatre milliards de francs de l’époque détournés sur un contrat d’État et une vingtaine de morts, malheureux témoins des détournements. Les contribuables français ont dû rembourser à Taiwan lesdites commissions à hauteur de 630 millions d’euros ! Et Christine le bouc émissaire, la « putain » responsable de ce scandale, devant les tribunaux sans avoir en main ce qui l’accusait pour s’expliquer et se défendre : les Frégates de Taiwan. Secret défense! 
Allez comprendre... Ou peut-être vaut-il mieux ne pas trop creuser et en connaître les raisons. Je n’ai rien dit. En guise de remerciements, Roland Dumas accueillit ma sortie de prison en déclarant devant tous les medias de France et de Navarre que je n’étais pour lui qu’une femme parmi tant d’autres. Beau cadeau après dix années de fidélité et six mois de prison! Magnifique gratitude pour avoir, je crois, aidé à sa relaxe en appel en continuant, au grand dam de mon avocate, à ne rien dire. Pour n’avoir pas avoué devant les juges ma «position d’écran» dans cette affaire. Sinon, comment expliquer une telle rémunération, de telles sommes d’argent à une simple employée ? 
Lors de la promotion de son dernier livre sur le plateau d’une émission télé, Roland Dumas déclara qu’il ne m’avait jamais aimée. Et il ajouta, magnanime : « Mais je lui sais gré de n’avoir jamais franchi le pas de dire qu’elle m’aurait donné de l’argent, surtout devant Eva Joly.»  Un jour, un journaliste a commenté «mon» affaire ainsi : « Christine Deviers Joncour a aimé à une hauteur qui n’était pas la sienne. » J’ai effectivement joué dans une cour qui n’était pas la mienne. Après avoir vu et entendu les petits et grands secrets de nos dirigeants, les arrière-cours et cuisines nauséabondes de notre République, la roturière, la paysanne que je suis se réjouit de ne pas – de ne plus – en faire partie. »                         
Extrait « La Morsure du Rat » 
Texte et illustration CDJ

http://christinedeviersjonc.wix.com/christine-dj?fb_ref=Default#!/c1lfq

En nous racontant par le détail les comportements sentimentaux et familiaux des "messieurs d'en haut", qu'elle a longtemps côtoyés, l'auteur nous entraîne dans des coulisses peu reluisantes. Un envers du décor où la femme n'est plus rien. Comme cela arrive souvent dans d'autres milieux aussi.
Une peinture au vitriol des coulisses du pouvoir. 
Un récit émaillé d'anecdotes toutes véridiques.

mardi 2 juin 2015

Le Journal de Christine Deviers Joncour : LA CITÉ D'AIRAIN  /IN SILICOLivre audio /voix de l...

Le Journal de Christine Deviers Joncour : LA CITÉ D'AIRAIN  /IN SILICOLivre audio /voix de l...: LA CITÉ D'AIRAIN  /IN SILICO Livre audio /voix de l'auteur Ecoutez le premier chapitre  à cette adresse. Disponible aussi sur  ...
"Offre de service"
L'expérience acquise depuis près de vingt ans et cette  passion toujours aussi forte pour l'écriture et la belle langue française me donnent aujourd'hui, ayant davantage de temps libre, la possibilité d'offrir mes services à ceux ou celles débutants ou non que cette aventure tenterait:

Saisie Word, mise en page,corrections et relecture.
Vous pouvez me contacter sur mon mail:
christine.deviersjoncour@gmail.com

  CE VIDE

« Il est terrible quand il arrive
   Ce néant, ce vide de la vie
Sans but, ayant perdu toute envie
  On part dans une grande dérive

Il est enivrant et tentant
  Ce chemin que l’on prend
    On se laisse aller et porter
On ne voit plus les jours passer

 On est là, tout simplement
Sans savoir ni pourquoi ni comment
Sans réagir, toujours en subissant
On se moque du moment et du temps

Doutant du bien-fondé de l’existence
De la valeur même de notre présence
   Imperturbable sans résistance
 On n’a plus d’avenir, plus d’espérance

On se plait dans la solitude
  Dans cette grisante quiétude
Dans ce rien qui nous entoure
  Où tout est lisse, sans détour

Ne pas sortir de cet univers si rassurant
Où des menaces rôdent à tout instant
  Ne plus avoir à faire semblant
  A faire comme si, c’est reposant

Inutilité, absurdité, futilité
On abandonne cette vie sans regrets
      Tout y est fade et dérisoire
 Rien ne nous permet plus d’y croire

  On la quitte, on la délaisse
     Sans tristesse, avec allégresse
Pas de joies mais pas de peines
On se retrouve sur une planète lointaine


On ne demande rien, on ne veut rien
  On n’en a pas besoin, on est bien
On croit que c’est un mauvais moment
  Pourtant cela s’éternise, trop longtemps

Un danger nous guette, bien doux
 Celui de s’habituer, d’y prendre goût
Alors on ne retrouve plus le cours de la vie
 On se laisse à penser que tout est fini

S’en aller, lâcher prise, doucement
  Quitter tout, peu à peu, paisiblement
Partir, sans bruit, dans ce vide grandiose
 Trouver enfin une inespérée apothéose. »